Après avoir avoué s’être drogué, Agassi fait une nouvelle révélation dans son livre « Open : An autobiography » qui doit sortir le 9 novembre, le magazine américain People Magazine a publié des extraits vendredi. Avant la finale de Roland Garros en 1990, il avait prié « non pour la victoire, mais pour que sa perruque ne tombe pas !».
La légendaire coiffure “mulet”, très hype dans les années 80, d’André Agassi, était bidon, à l’époque, en 1990, il perdait ses cheveux et devait fixer une prothèse capillaire (perruque) pour ne pas perdre de son sex appeal pendant les tournois. Jamais la gent féminine qui suivait le sex-symbol du tennis des années 80-90 n’aurait pu supporter cet état de fait.
Extrait de son livre « Open : An autobiography »:
« Je prenais ma douche et j’ai soudain senti ma perruque tomber. »
Agassi appelle son frère à la rescousse :
« Nous avons utilisé vingt clips. “Tu penses que ça va tenir”, lui ai-je demandé. “Oui, si tu ne bouges pas trop”, répondit-il. »
Agassi pense que ses soucis de perruque ne sont pas pour rien dans sa défaite contre Andrés Gómez :
« A chaque bond, je l’imaginais tombant dans la terre. Je voyais des millions de téléspectateurs se rapprocher de leurs écrans, les yeux écarquillés, se demandant, dans des dizaines de dialectes et de langues, comment les cheveux d’Andre Agassi étaient tombés de sa tête. »
Mercredi dernier, le Times avait dévoilé d’autres extraits dans lesquels le champion avouait, en 1997, avoir pris de la méthamphétamine , une drogue synthétique psycho-stimulante qui provoque une euphorie, une forte stimulation mentale et qui est hautement addictive.